Le paludisme est une maladie qui sévit en Afrique et il constitue la maladie ayant le plus fort taux de mortalité sur ce continent. Bien que touché par ce phénomène désastreux, il reste le continent de choix des touristes amoureux de la faune sauvage. Pour ces derniers, voici quelques conseils utiles pour profiter des safaris tout en tenant à l’écart cette maladie dangereuse. Quels sont-ils ?
Les causes, les manifestations et les conséquences du paludisme
Le paludisme est une maladie infectieuse et non contagieuse due à la piqûre d’un moustique appelé anophèle que l’on retrouve majoritairement en Afrique. Il touche femmes, enfants, jeunes et vieux. Le paludisme se manifeste entre autres par une fatigue intense, une forte fièvre qui s’accompagne très souvent de vomissement et des céphalées. Mal traité, il a pour conséquence directe l’anémie sévère, l’hypoglycémie, les problèmes respiratoires, etc. La plus grave des conséquences de cette maladie est la mort. C’est d’ailleurs l’une des maladies les plus mortelles en Afrique. Cependant, il est utile de préciser qu’il existe des moyens de préventions très efficaces pour lutter contre le paludisme.
Comment prévenir le paludisme ?
Lorsque l’on se rend dans des pays à risque en l’occurrence les pays de l’Afrique noire (au sud du Sahara), il prime de prendre des mesures préventives telles que : suivre un traitement médicamenteux à cet effet en plus de l’utilisation des produits contre les moustiques (les insecticides, les crèmes antimoustiques, les sprays, etc.) et surtout, le plus important, dormir sous des moustiquaires imprégnées si possible une fois sur place. Toutefois, si malgré toutes ces précautions, il arrivait quand même que vous ressentiez les symptômes exposés plus haut, rendez-vous à l’hôpital ou un centre de santé le plus proche pour une prise en charge adéquate.
